◭ Lisandra Ceìnwen |  Sujet: ❝And that road never seems to end❞ ✘ Lisandra (uc)  Jeu 5 Sep - 20:27 | |
|  Lisandra Ceìnwen « What we encounter in life is destiny.
How it occurs is the personal effort. » nom, prénoms : Lisandra Ceìnwen. Elle possède d'autres prénoms mais il serait inutile de vous les citer. En revanche elle n'utilise plus le nom de son Epoux. âge, lieu de naissance : Cela va faire Trente deux ans que Garaldur a entendu son premier cri groupe : Alors que son coeur irait aux Galadhorn , c'est de force qu'elle est chez les Heledir. métier : Elle a apprit les rudiments de la couture mais c'est comme apprentie Alleresse ( sage-femme) qu'elle fut prise avant son mariage état civil : Inscrivez l'information ici. guilde : (facultatif) Inscrivez l'information ici. (en savoir plus dans ce sujet.)
caractéristiques de votre personnages (adjectifs, tics/manies, ... ses petits travers en somme, afin qu'on puisse cerner au mieux votre personnage !) caractéristiques de votre personnages (adjectifs, tics/manies, ... ses petits travers en somme, afin qu'on puisse cerner au mieux votre personnage !) caractéristiques de votre personnages (adjectifs, tics/manies, ... ses petits travers en somme, afin qu'on puisse cerner au mieux votre personnage !)
somewhere, in a far far land
A la faible lueur d'une bougie, une jeune femme déroula un grand morceau de parchemin et le coinça sous le sceau en fer représentant une hache de guerre entourée de part en part des lettres H et R. Honed and Ready. La devise des Ceìnwen . Elle trempa sa plume dans l'encrier noir et d'un trait léger écrivit ces simples mots :
« A Teoddry, mon tendre frère. »
Pendant une fraction de seconde, elle avait hésité à mettre les formes pour s'adresser à lui de cette manière, peut être devait-elle nommer Lord à présent ? Ce n'était sans doute pas grave pour cette fois, si elle avait fait une erreur, Teoddry ne lui tiendrait surement pas rigueur.
« Teoddry, mon frère, mon sang, je ne sais pas pourquoi j'ai laissé passer c'est huit années sans t'adresser la moindre lettre, alors que, étant plus jeunes, nous nous écrivions constamment même si nous l'un près de l'autre. Cela te paraîtra sans doute futile à notre âge mais aujourd'hui je ressens le besoin de t'écrire à nouveau. Te souviens tu comment cela a commencé ?Mère avait commencé l'écriture d'un grand livre où elle avait fait graver nos deux noms sur la reliure en cuir. Elle y racontait tout, pour que, selon elle, nous puissions nous souvenir de notre enfance et pour pouvoir raconter notre histoire à nos enfants et aux générations à venir. Je me souviens d'une anecdote qu'elle avait écrite lorsque nous avions trois ou quatre ans. Elle disait que ce jour-là, il y avait eu un orage comme il n'y en avait pas eu depuis des années. Nous étions dans la Grande salle, il y avait Lonnyn aussi en train de jouer au chevalier avec un ennemi imaginaire, Mère faisait du point de croix assise sur un des grands fauteuils et nous, nous étions en train de nous chamailler comme tout le temps en attendant Père pour le dîner. Elle avait écrit qu'il y avait eu un coup de tonnerre monstrueux, qui avait résonné dans tout le château à en faire trembler les murs, nous avions eu si peur que nous avions tout deux couru sous la table où venait d'être servi le repas. Lonnyn c'était alors moqué de nous et en guise de vengeance nous lui avions lancé toute la nourriture que nos petites mains pouvaient attraper sur la table. Je crois bien que ce fut la seule fois où nous avions déclenchés une bataille de nourriture ! Enfin la seule fois devant Mère ! Elle n'avait pas apprécié et nous avait congédies dans nos chambres pour le reste de la journée. Te souviens tu ,mon frère ? Te souviens-tu , de ces soirs où, n'arrivant pas à trouver le sommeil, nous prenions le livre et tentions de lire des passages sans faire trop de bruit ? Moi je m'en souviens et j'en éprouve une profonde nostalgie. »
Elle marqua une pause pour retremper sa plume, son regard se perdit dans le vague, loin au-delà des murs de Kaern, vers le Nord et vers Garaldur. Elle revit ses murs perdus dans les arbres de la forêt près des collines... Un craquement la fit brusquement revenir à elle, ici à Kaern, sa Prison-Dorée. Un rapide regard derrière son épaule pour voir que le craquement provenait du jouet en bois que sa chienne Eromil mâchouillait depuis la tombée de la nuit.
« Lorsque nous commencions à savoir écrire correctement, Mère à cesser ses récits pour nous laisser la place et jour après jours, nous nous écrivions. Au début je me souviens que l'on écrivait que des sottises comme par exemple de petites méchancetés à propos de Lonnyn, ou bien de la Speta et du Mestre. Je me souviens aussi du jour où Père ,excédé de me voir trainailler dans vos pattes, m’a désignée pour que je vous assiste dans votre entrainement. Lui qui pensait me punir en m’obligeant à tenir vos chevaux à la place des écuyers ne pouvait pas imaginer a quel point il me rendait heureuse. Mère, elle, disait qu'une jeune fille n'avait rien à faire avec les garçons dans la Cour et que tenir les chevaux toute la journée allait abimer mes mains ! Que ces mêmes mains devaient plutôt apprendre la couture ou la musique. Ce fut un rude parcourt pour faire accepter cette idée à Mère. Mais elle dit finalement oui pour que je sois avec vous trois jours dans la semaine. Elle qui avait une peur bleues des chevaux devait se faire en sang d’encres devant mes premières chevauchées point glorieux du tout il est vrai ! Un jour où vous, les garçons, étiez partis avec Père pour Merilyan, je me suis mise en tête d’essayer de tirer avec ton arc en cachette et j'envoyas même une flèche en pleins dans le derrière du pauvre palefrenier Darrys ! Je te l'avais écrit le soir même dans notre livre et tu l'avais lu à ton retour. Tu ne m'avais pas voulu me croire et Darrys avait été obligé montrer son postérieur pour te prouver que j'avais raison ! Je ne suis pas meilleure aujourd'hui malheureusement !
Pour notre dixième anniversaire, Père nous offrit à chacun un animal. Tu reçus un superbe étalon, le jeune yearling que tu avais vu récemment et qui animait toutes tes conversations, moi je reçus un chat. Un beau felin au poil soyeux que Père avait reçu lors de son dernier voyage dans le Sud... Je ne sais pas pourquoi je m'évertue à t'écrire tout cela ... Tu étais là, avec moi, tout du long. Tu as connu les mêmes choses que moi, nous avons tout partagé ensemble : le départ de Lonnyn pour devenir soldat, la naissance de Tarius et la perte de Mère... Il n'est pas bon , je pense, de ressasser ces mauvais souvenirs, mieux vaut les garder enfermés en nous. De toute manière, durant cette sombre époque, je crois que le Livre fut le meilleur des remèdes. Nous avons pu tout écrire dedans, dire ce que nous éprouvions sans que personne ne nous juge... Je crois qu'à ce moment-là je devais être vraiment perdus pour avoir tourné le dos à ce que j'aimais réellement : la nature, les oiseaux, les chevauchés à n'en plus finir, nos chamailleries... J'ai fermé la porte sur ces moments-là, car je pensais qu'il était temps pour moi d'être celle que Mère aurait voulu que je sois : La Lady de la maison Ceìnwen. Durant des années je me suis évertuée à faire de moi une vraie Dame. Me persuader que j'aimais le point de croix, la danse, le chant et autres fanfreluches... J'ai même cessé de lire et d'écrire dans le Livre...J'ai honte à présent... Pourtant, quand Père m'a annoncé mon mariage avec le neveu Delwyn,je fus obligée de jouer la comédie pour faire croire que c'était la chose la plus merveilleuse qui soit. Si je savais à l'époque ce que je sais maintenant, je crois que j'aurais préféré me jeter du haut de la tour ou m'enfuir plutôt que d'accepter. Je connais les raisons de se mariage, Père ne pouvait pas imaginer son unique fille épousé un autre homme d’une famille qui n’embrassait pas les même idéologies que lui. Cette vengeance que tout le monde veut, celle dont Père aspire depuis des années…Ciel que je trouve cela puéril. J’envie les Galadhorn et leurs espoirs de Paix. Est-ce mal mon Frère ? Devrais-je avoir honte de renier ce pour quoi Père croit depuis si longtemps ?
Pour dire vrai, je ne t'écris pas cette lettre pour te remémorer ce que nous avons vécus ensemble ou pour parler des nouvelles dans Elenath, je t'écris pour te demander une faveur. Après toutes ces années sans la moindre nouvelle, j'ai bien le culot de te demander une faveur. J'aurais très bien pu la demander à Père directement, mais je sais pertinemment qu'il aurait refusé ma requête. Mais si elle vient de toi, cela pourrait changer les choses. Je t'en pris mon Frère, Mon Sang, d'accepter de convaincre Père pour me faire rentrer à Garaldur,! Depuis que je suis mariée à cet homme j'ai l'impression que ma vie est maudite ! Je ne peux rien faire, je suis prisonnière dans une cage dorée ! Je pensais qu'une fois loin de Garaldur j'aurais pu redevenir celle que j'étais avant, la vraie Lisandra, celle qui coure dans le foret après les lapins et non celle qui brode d'horrible tenture ! Quelle sotte ai-je été en croyant cela possible ! Je ne peux même pas monter à cheval quand cela me conviens, je ne peux me déplacer où je veux, dans mon ombre il y a une ribambelle de serviteur qui rapporte le moindre de mes fait et gestes...Une Alleresse a acceptée de me prendre comme apprentie bien que tout le monde soit contre cette décision. M’occuper de femmes enceintes, d’enfants et de nouveaux nés m’aide énormément. Je me sens enfin utile , je n’ai plus l’impression de n’être qu’une parure que l’on sort pour un diné, a rester silencieuse auprès de mon époux…Mon époux... Je crois bien que, la seule fois où il a fait preuve d'une certaine forme de gentillesse à mon égard c'est quand je lui ai donné un fils. Le reste il le gardait sans doute pour les catins que je voyais défiler dans sa chambre chaque nuit. Et lorsqu'il se rappelait qu'il avait une femme, il était bien trop ivre pour faire autre chose que de me battre. Je ne compte plus les fois où il m'a fendu la lèvre ni les bleus que j'ai sur le corps.
Ce que je te raconte là je sais que si cela tombe dans les mains de la famille, je risque beaucoup plus qu'une simple lèvre fendue. J'en ai eu un avant goût, à la mort de mon fils pour son troisième anniversaire. La fièvre l'a emporté et la Mère de Cedrif a dû le convaincre que si la Mort de Drendald (mon fils) cela devait être certainement de ma faute. Ce soir-là j'ai reçus la plus belle correction de toute ma vie. Et si, que les Dieux me gardent, une lame se serait trouvée à ma portée, je me serais fait un plaisir de l'embrocher de part en part !
Cela fait quatre années maintenant que je les supplie tous les soirs de me faire rentrer à Chez Nous, quatre années d'enfer depuis la mort de Drendald. Et puis, il y a quelques mois maintenant, je crois qu’Ils m'ont entendus et ont réalisés d'une certaine manière mes prières. Alors qu'il était à la chasse, son cheval a fait une chute et lui a brisé le dos. Après des semaines entières plongé dans un profond sommeil, Cedrif a de nouveau ouvert les yeux. Sauf qu'il est prisonnier de son propre corps, il ne peut plus se mouvoir, ni parler. Seuls ses yeux bougent. C'est pour cela que je t'écris. Ici la tension est plus que palpable, ma suivante m'a fait part d'une rumeur comme quoi j'aurais organisé cela ! Je te le demande, je t'en conjure mon Frère, Mon Sang, si tu tiens à moi, faire entendre raison à Père.
Ta sœur, Ton Sang, Lisandra. »
Elle roula avec précaution le long parchemin qu'elle ferma du sceau des Ceìnwen, puis se leva et marcha vers la fenêtre où elle avait attaché un corbeau. Elle installa le parchemin dans l'étui de cuir installé sur le dos, juste entre les ailes ,car sa lettre ne tiendrait pas attachée à sa patte et libéra le corbeau. Retourna se coucher, elle caressa la tête de sa chienne et lui fit signe de la rejoindre sur le lit. Les jours passèrent sans la moindre réponse, réduisant peu à peu les espoirs de Lisandra à néant. Si l’aide ne vient pas de son Frère, alors elle se débrouillerait seule. Convaincre sa suivante de lu apporter son aide ne fut pas chose aisé mais après bien des discutions, comprit et autres ,Lisandra réussi a lui arracher un « oui ». Ce fut un soir sans lune alors que la pluie battait le sol qu’elle partie comme une voleuse. Qu’allait-elle faire à présent ? Rejoindre son Frère ? Non pas pour le moment. S’il n’avait pas répondu à son message c’est qu’il n’était plus le Teoddry qu’elle avait connu…Et maintenant ? Et si elle avait fait une erreur ? Peut être qu’elle aurait due rester là bas ? Il est trop tard pour faire demi tour. S’accrocher, ne rien regrette. Et qui sait, les Dieux entendront peut être un jour ses prières…
say my name !
ton pseudo : Dixiem. comment as-tu trouvé CWM ? : En Farfouillant dans des partenaires de forum puis le lien est tombé dans dans l'oubli et c'est un membre qui me l'a fait "redécouvrir" . et t'en penses quoi ? :   des trucs à ajouter/améliorer ? : Pour le moment il est parfait 
Alors , alors alors...Digadigadoum...Qu'est-ce que je pourrais dire ? Bon truc simple mais efficace : comment je m'appelle ! Sur ma carte d'identité il y a noté Jessica-Célia Santa-Ghjulia Lisandra Barbara "haaaaaaaaaan ! *reprend de mon souffle* j'imite bien hein ?" Oui moi aussi je trouve que ça fais beaucoup de prénom. C'était assez galère en Maternel pour apprendre à tous les écrire !! " Maîtresse ça rentre pas sur l'étiqueeeeeette !" Elle a surement terminé en dépression la pauvre femme...  Et avec la ribambelle de prénoms, et ben il y a évidemment la ribambelle de surnoms o/ Jessy, jess, miaous, pikachu ( ça c''tait pendant la période pokemon , première saison xD), ikéa, mickey ( toujours mieux que donald), twiky ( je sais plus pourquoi ...), Mamie Nova et DixieM (en fait c'est DixieMowgy ^^ Les deux noms de mes premiers hamsters !!!!!  )
Après je pourrais dire pleiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiins de bêtises mais j'ai peur que des hommes en blancs avec de grands filets à papillons viennent me chercher... Comme si j'avais une tête de Euplagia quadripunctaria * c'était le mot scientifique de la soirée ! * 
Ah oui chose importante : Je suis un Panda mais chut  (C'est on m'a obligé à l'écrire , pas ma faute T.T)
Je vous jure que je suis gentille Folle. Mais gentille 
- Code:
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[b]JAIMIE ALEXANDER[/b]  [i]Lisandra Ceìnwen[/i]
Dernière édition par Lisandra Ceìnwen le Lun 9 Sep - 14:25, édité 7 fois |
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◭ Anthéia H. L. Cocciante Tant que vous êtes en vie il n'est jamais trop tard. Il faut tout oser, toujours. ▽ parchemins. : 92
Localisation : En train de te faire les poches
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◭ amras gwelnaur ♚ love without madness is not love | | Sujet: Re: ❝And that road never seems to end❞ ✘ Lisandra (uc) Ven 6 Sep - 8:45 | |
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◭ Satine Telemnar « bye bye, black bird. » | |
Choix d'avatar juste génial 
Courage pour ta fiche et si tu as la moindre question, n'hésite pas à me harceler. 
